LE BAR

[Franconen]

[Nicovago17]

[fonzie]

[boost]

parveque ca reprend des mots que j ai dit sur un autre poste je pensais qu il disais cela pour narguer un peu la chose mais apparamant pas!!!


donc veuillez m'escuser

[Franconen]

[fonzie]

Oula y vas morfler le jesus christ

[Mengutch]

Résultats mardi soir. Voici l'article de présentation de la finale ....

Ils étaient trente-six, ils ne sont désormais plus que quatre. Pour eux, l’aventure «le Jour oN sTAGE» touchera à sa fin demain soir sur la scène du café l’Escalier à Huy. Première édition du genre, le concours musical aura séduit, rassemblé un nombre inespéré de groupes de qualité aux influences et styles divers, tout en atteignant son objectif prioritaire : permettre à des musiciens de la région d’être écoutés par des professionnels et nouer des contacts utiles.

Le concept, lancé le 6 janvier dernier, n’avait jusque-là offert qu’un renvoi vers le myspace des différents groupes. À charge tout d’abord pour les internautes et jurés de départager les participants durant neuf semaines d’éliminatoires, mettant chaque fois aux prises quatre groupes. Seul le public aura ensuite eu droit de vote lors des trois demi-finales qui ont vu Kaptain Oats, ?Blueshift et No Pan Kissa figurer au rang de «survivants». Chacun aura désormais l’opportunité de montrer, en 20 minutes, de quel bois il se chauffe sur la scène de l’Escalier. «On est très heureux d’être en finale, explique Florian Di Nitto de Kaptain Oats.
Le Net, c’est bien mais le live est bien sûr plus représentatif. Il nous tarde d’être samedi, de jouer dans les conditions du direct et d’écouter les autres groupes. Jouer à l’Escalier sera qui plus est une première. On vise avant tout à passer une bonne soirée.»

Un but que rejoint No Pan Kissa. «L’objectif est atteint : des gens ont marqué de l’intérêt pour notre musique, l’ont écoutée, l’ont commentée, remarque Dominique Messere de No Pan Kissa. Gagner serait génial mais on voulait d’abord se faire connaître et lier des amitiés avec d’autres groupes, comme avec Tarram. Demain, on tentera de s’amuser et de faire plaisir aux gens.»
Et ?Blueshift ? Ambitieux ! «Pas mal de gens ont voté pour nous, nous ont soutenus alors qu’on ne les connaissait pas forcément, explique Yannick Letawe de ?Blueshift. La finale ? Nos morceaux sont assez longs donc en 20 minutes, on n’aura que le temps d’en proposer trois ou quatre. On espère que le public sera réceptif et pourquoi pas, gagner ! Même si on sait que notre style est peut-être moins accessible.»

On a cité Kaptain Oats, ? Blueshift et No Pan Kissa . Et le quatrième finaliste ? The Mash est l'invité surprise de l'événement puisque repêché par le jury. « De quoi mettre un peu en valeur le travail des jurés », justifie-t-on. Les jeunes hutois au son pop-rock énergique partent-ils pour autant avec une longueur d'avance comme le craignent déjà certains ?« Évidemment, chacun a ses goûts et ses préférences mais il faut aller au-delà de ça, estime Didier Dauvrin, membre du jury et batteur des groupes Showstar et Isola. Lors de cette finale, chaque groupe part sur un pied d'égalité. Je prêterai pour ma part attention à la cohésion scénique et à la virtuosité des musiciens. Car lorsqu'on enregistre une demo, on peut recommencer si ça coince. Mais sur scène, ça ne pardonne pas. Pour le reste, ce concours aura été une bonne initiative, même si la sauce n'a pas pris directement. À l'avenir, peut-être devrait-il être moins long et peut-être faudrait-il cibler davantage les groupes et certaines catégories pour que ça parte moins dans tous les sens. » Pour The Mash, la surprise est totale. Mais une éventuelle victoire finale, elle, ne taraude nullement le groupe.
« On est assez surpris d'avoir été repris, affirme Maxime Wathieu, le chanteur guitariste. Bien entendu, la déception était présente lorsqu'on a appris notre élimination. Mais finalement, pouvoir participer à cette finale est une excellente nouvelle. On se réjouit d'y être, d'autant que le concours a engagé d'excellents groupes, comme Volver ou Nightclubbers. On viendra sans pression, pour jouer nos meilleurs morceaux. Mais on ne changera pas nos habitudes pour la cause. »

Le vainqueur repartira avec deux concerts programmés par le centre culturel de Wanze (un à Wanze même, un autre en fonction des possibilités) et deux jours de studio (via Ça balance). Mais pour goûter à cette récompense convoitée, il faudra tout d’abord convaincre le jury, composé de Justine Dandoy (centre culturel de Wanze), l’équipe de Ça Balance, Benjamin Custine (Escalier Huy), Didier Dauvrin (Showstar & Isola), Frédéric Petitjean (Atel’Yé Waremme), Sergio Tarona (Anorak Supersport) et… plusieurs journalistes de votre quotidien.
Nicolas Maréchal
Finale du «Jour on Stage» (entrée gratuite), samedi 11 avril dès 20h45 à L’Escalier de Huy avec The Mash (20h45), The Kaptain Oats (21h15), ?Blueshift (21h45) et No Pan Kissa (22h15)

[Flat-twin]

Vous passez en dernier ça peut être pas mal car au moins vous aurez vu comment le public a réagit face aux autres groupes. Mais ce n'est pas une position facile non plus de conclure le bal car vous laissez la dernière impression. Bref, va falloir envoyer du bois mengutch !!
Bon courage en tout cas, le plaisir de jouer sur scène surpassera le stress qu'il peut y avoir.

[Cromax]

Bonjour tout le monde.

"Garçon.. une Kro, merci"

Alors les gars, quoi de neuf?? je viens de lire un article, ça à l'air marrant comme truc.

http://www.turbo.fr/actualite-automobile/269460-wrc-citroen-c4-hybride-piste/


vont bientôt devoir faire Bip-Bip pour qu'on les entendent

[RallyeDam22]

Ouai , et les spectateurs en bord de piste , ne pousseront plus les voiture hors du fossé , mais ils devront venir avec un chargeur batterie . . . pffffff , où va-t-on !

[Ze Rallyman du 13]

Je vous livre le résumé de mon week-end passé en compagnie de l'ami Flat-Twin, sur les routes du Lyon-Charbonnières.

Vendredi 17 Avril, il est 15h40 je reviens d'une journée de cours et l'excitation monte ; j'entame les préparatifs. Une fois prêt Flat-Twin appelle pour vérifier que tout est bien arrangé. Après un quart d'heure d'attente insoutenable la 307 XSi se gare enfin devant chez moi. A peine le temps de dire bonjour que je rentre pour sortir avec armes et bagages, pour remplir le coffre de ladite 307. Puis c'est le grand départ, pour une épopée courte mais intense . Passage à Décathlon pour acheter une trompe pour que l'ami Kéké-Gary nous chauffe les pilotes, puis à Plan de Campagne pour des cassettes (21 balles les 2 cassettes, c'est l'arnaque ! > ) Ensuite on rentre sur l'autoroute direction d'abord l'A7 et l'aire de Ventabren. Il est 16h45, rendez-vous est pris à 17h15 sur l'aire. Mais c'était sans compter sur les embouteillages monstres... Arrivée à l'aire à 18h pas loin. Séance de retrouvailles (depuis l'après-midi même pour moi ), chargement des bagages, 'fin tout ça quoi. Le voyage se passe bien, il y a du temps à tuer alors on discute de tout, de rien et surtout de ce qui nous attend à l'arrivée : ne pouvant arriver à l'heure pour Gerland on décide de passer au parc pour voir un peu de la bagnole avant d'aller dormir. Après trois heures de voyage on ne passe finalement pas par le parc car il se fait tard et on part tôt le lendemain matin. Les aïeux de Kéké-Gary sont prévenants et gentils au possible, ils veillent à ce que nous ne manquions de rien. Le réveil est réglé sur très tôt du matin, il est 22h et il faut aller dormir. Après un court essai du sol (même avec un sac de couchage, on fait mieux ) je me résous à dormir dans le lit avec l'ami Flat-Twin.

Samedi 18 Avril, 6h00, le réveil envoie Money For Nothing : ça, ça réveille ! 6h02 tous quatre attablés devant un bon petit déjeuner on discute de tout et de rien (x2 ) puis on est interrompus par la montre qui indique déjà 6h30 : "Ouh P*t**n mais faut y aller là !" Les bagages sont chargés tout est prêt nous partons, le soleil n'est pas encore bien réveillé. Après une grosse heure de voyage bercée par la douce voix de notre copilote d'un jour "à 200 mètres tournez à gauche" nous approchons de notre destination. L'accès est bien sympa, l'occasion de tirer un peu sur la 307 est immanquable... Puis on arrive en haut du Col du Fût d'Avenas, première destination de la journée. Il n'est que 8h, il nous reste un bon moment à passer. Petit repérage le passage n'a pas l'air mal du tout : en gros c'est GAF sur bosse et frein DAF corde pour G90 gravier et D90 avec une petite marche. Je sors la caméra pour faire quelque plan fixe de la vue magnifique qu'on a en haut du col, et là ô haine ô désespoir la barre de batterie descends en moins de temps qu'il ne faut pour le dire à son niveau critique. Là je reviens vers Flat-Twin pour récupérer la clé de la voiture pour ranger le matos qui ne sert plus à rien ; même si extérieurement je pense que j'avais l'air limite serein intérieurement je cassais tout ce qui passais à ma portée en vomissant des bordées de jurons > Après cette démonstration invisible de violence je finis par me résigner : même si j'aurais préféré ne pas le faire ici cela faisait longtemps que je n'avais pas profité d'un rallye ailleurs qu'à travers l'œilleton de la caméra.

Après un passage par la buvette histoire de prendre un petit café (l'ami Flat-Twin est en manque ) nous nous plaçons au niveau du gauche 90 pour les voir débouler en pleine corde et plein freinage, passer dans les graviers puis repartir pour le droite. Il est 8h45 nous sommes prêts. La sécurité passe, la tricolore et l'observateur FFSA, les deux Subaru Info qui ne nous donnerons pas le classement devant nous, f'chier . Ensuite commencent les VIPs avec des voitures de série suivies par un cabriolet façon caravane du Tour de France qui balançait des canettes de boissons énergétiques. Ensuite la 205 Maxi derrière qui s'arrêtait 100 mètres avant le virage histoire de prendre de l'élan... Le VIP devait quand même bien s'emmerder de cette course en pointillés... Les trois 000 passent tranquilles, la 206 00 aussi puis la Clio R3 00 nous offre un passage d'anthologie, un gros câble dans le gauche et les roues qui patinent nous couvrent de graviers Ensuite Delaunay avec la 207 RC qui passe mauvais :-\ Puis c'est Salanon : propre, net et précis malgré une petit glisse à l'accélération dans les graviers. Marty propre, de même que Snobeck et Vigion derrière. Nantet sort en slide complet du DAF, et passe comme un porc dans l'enchaînement Rouillard fait un tête-à-queue, Guigou attaque comme un dératé, comme Pelamourgues qui est 2ème GpN ! Ensuite on aura droit à du gros passages un peu dispersé dans la liste, selon la forme des pilotes. En vrac : le GTT Diac qui passe comme une brute, une 207 qui au lieu d'accélérer après le câble bloque tout et s'arrête à 15 centimètres de la barrière, la Delta HF qui ira mourir dans le champs après le droite car trop large, une Swift qui fera à peu près la même connerie... On apprend à peu près dans les 20 voitures que Salanon est sorti 4 kilomètres après nous, c't un âne Après une grosse centaine de voitures un gros trou : on apprend qu'un bagnole est sortie et qu'elle bloque tout ; après une longue attente une quinzaine de voiture passe en convoi. Après quelques autres voitures on décide de partir, voyant l'heure tourner, pour notre deuxième passage. Avec un beau câble dans une épingle "Ceci devait être fait"

On arrive juste à l'heure mais pas au bon endroit, le commissaire ayant bloqué tout l'accès on a changé d'endroit. Le passage risque d'être fort inintéressant c'est un long droite léger avec juste deux bosses en plein milieu qui peuvent pimenter un peu... Et en plus la pluie se rappelle à nous :-( A part une bonne vieille glisse de Nantet et une frayeur de Greiffenberg nos craintes sont confirmées... On repart peu après pour manger car il se fait faim, mine de rien. Pour ce faire nous nous arrêtons dans un endroit stratégique : un arrêt de bus dans un Té ; les modernes viennent de la droite pour aller à l'assistance avant l'ES 8 et les derniers modernes et les VH viennent de gauche pour aller à l'assistance avant l'ES 6. Un sandwich dans une main on fait de grands signes aux VH qui répondent gentiment avec un appel de phares ou un petit signe de la main : bien sympa ! On fait le point : il est 14h30 il reste trois heures avant le dernier passage de la journée...

On remballe tout et on part direction Lamure-sur-Azergues ; c'est jour de marché et l'accès paraît bloqué... Heureusement grâce à un jeu de panneaux directionnels (merci la DDE ) on réussit à se retrouver par un beau miracle sur la route désirée. Arrivé en haut notre première vision sera une 207 mal en point ; c'est le vainqueur de Rallye Jeunes, il a défoncé tout l'avant de sa Peugeot. On monte encore un peu et on découvre le passage : un gros droite en frein pour un gauche épingle avec une grosse bosse ; j'ai vu une vidéo (sur ce topic, page 9 je crois) et ça se présente bien. Il y a déjà un peu de monde, ça va être blindé et ça tombe bien j'ai ma trompe avec moi On fait un peu de repérage d'avant et après, après ça vaut rien et avant il y a une méga enfilade de la mort, tout à fond, ça aurait pu être marrant si on faisait deux passages. On revient à l'épingle, on va chercher de l'eau et faire le petit pissou avant que tout le peuple arrive et qu'on ne puisse plus se placer. On trouve une bonne vieille souche au milieu des ronces, ça sera bien. Les ouvreurs sont tous passés on attend la Sécurité. Ensuite la tricolore, l'observateur FFSA, et les VIPs. Les commissaires commencent à endiguer la foule, la voiture caravane publicitaire envoie n'importe où les canettes et une d'elle explosera au mains du commissaires venu la récupérer sur la route La pluie revient, elle restera un petit moment. Les 000 passent au pas (presque) et la 206 s'annonce : elle sort du droite en glisse des quatre roues, se rattrape magnifiquement et envoie le câble dans l'épingle :o Ca promet ! La Clio R3 00 arrive derrière, le freinage et plus propre mais le câble l'est moins, magnifique ! Ensuite on attend la 0... Ce n'est qu'après une demi-heure qu'elle arrive, la pluie s'est calmée. Les dix minutes avant Marty seront longues mais récompensées par ledit Marty qui tire le câble à l'entrée de l'épingle, pied au plancher en allant manger un peu le bas-côté. :o Miam c'est beau ! Snobeck est propre, comme Vigion derrière. Nantet met la Porsche à l'équerre en sortie Mais la palme revient à Véricel, gros freinage, le câble est optimiste et la Porsche se retrouve dans le mauvais sens. C'est pas grave, demi-tour façon 'prop' et ça repart aussi fort que c'était arrivé... Ma trompe en est toute essoufflée Ma mmère m'appelle au moment de Pelamourgues, c'était une mauvaise idée car le passage était excellent et quand on gueule dans le téléphone avec la trompe à côté qui s'époumone ça fait pas du bien les zoreilles. Vallicionni envoie la Béhème en travers complet dès qu'il voit que ça passe... Ensuite on aura droit à quelques freinages ratés, une 207 qui arrache toute la rubalise, la Subaru noire qui en plus calera, dommage, une C2 qui fonçait en direction des commissaires mais qui se rattrapera... Campana qui bloque tout mais "ET CA PASSE !!!"... Ensuite on essaie de chauffer les derniers mais on n'obtient pas grand chose... Il fait nuit maintenant on attend les VH, histoire de les voir quand même une fois... Un verre de vin chaud offert gracieusement par la buvette dans la main on les attend quand tout à coup le Flat-6 donne de la voix ; Flat-Twin est en transe et c'est vrai que c'est enchanteur... On s'est placé en sortie de virage histoire de voir glisser cette tripotée de propulsion et on n'est pas déçu... La Porsche Gr.4 envoie la sauce, la Rallye 3 aussi, quelques Alpine et la Kadett, l'Austin Healey ça pousse, et pour finir la dernière Porsche 914 en glisse des quatre roues. Toutes sont remerciées par nos encouragements avec force cris et moulinets des bras.

Puis sonne l'heure du retour, on retourne dans la 307 pour partager un repas chez les grands-parents de Kéké-Gary. Repas délicieux qui donne l'occasion de goûter la "saucisse du curé" ??? Ensuite il faut repartir, ils est plus de 22h et la fatigue se fait gravement sentir ; je m'inquiète pour mon pilote. Il ira quand même au bout, après deux pauses sieste et deux cafés bien forts, il est 2h30 quand j'arrive chez moi. Je lâche tous mes bagages dans l'entrée et grimpe les deux étage pour retrouver mon lit. Aaaaaaaaah ça fait du bien... Je refais la journée que j'ai passé et qui restera gravée dans ma mémoire comme un souvenir impérissable de passages de malades et de conneries mémorables (l'an prochain on fera les panneaux Flat ) avec trois personnes extraordinaires. Je reste blasé de n'avoir pu filmer quand même car la vidéo aurait été merveilleuse

Dimanche 19 Avril, il est 12:00 et je vous fais partager ce moment. En souhaitant bon courage à tous ceux qui sont sortis, en félicitant Pelamourgues de sa victoire en Gr.N amplement méritée, et en remerciant tous ceux qui ont permis ce beau voyage (Flat-Twin, Kéké-Gary, ses grands-parents etc...) !

[Groslapin]

[Flat-twin]

Et il n'a pas parlé de Guigou qui nous a raboté la motte de terre assez proprement. Je posterai quelques photos dans le topic pour illustrer ça.

[Ze Rallyman du 13]

Oui j'en ai oublié quelques uns, j'ai oublié de mentionner les merdages totals de Guébey et de Faure. A mon avis ils avaient dû se faire bien peur au premier passage.

[Anthonyf211]

Oui et la perf de CANIVENQ qui est 4 ème du Général

Vive l'Aveyron , vous voyez ils sont partout